nait un vendredi 13, il passe en CM2 avec les félicitations de la maîtresse à Xaintrailles dans le Lot-et-Garonne, puis reçoit le 13 juillet en Espagne sa première guitare flamenca, en profite pour parler et chanter sur scène en intégrant le Conversatoire National d’Uzeste, puis part à la capitale pour parfaire sa formation musicale en jouant avec Dgiz & Fantazio, tout en menant sérieusement des études universitaires d’informatique à L’IRCAM & Paris VIII & VI pour finir 5 années plus tard masterisé par l’Institut national Polytechnique de Grenoble dans le cadre du M2 Art Science et Technologie. Jaime signe alors son premier CDD (et dernier) au SCRIME – Studio de Création Informatique et Musique Expérimentale – de l’Université de Bordeaux pour développer le logiciel Score dédié à la régie de spectacle vivant, tout en fondant le parti Collectif avec lequel il créé un large panel de spectacles et concerts depuis lors. Jaime travaille en parallèle plusieurs années en tant qu’artiste/technicien/organisateur « polyvaillant » à la Cie Lubat de Jazzcogne et au festival d’Uzeste Musical, il assure la création lumière et informatique d’un dispositif de 81 lampes qui chantent dans Kara Da Kara et la création vidéo et sonore du spectacle Plaire de Jérôme Rouger de la Cie La Martingale, avec qui il enchaine les tournées, ce qui l’amène naturellement au festival d’Avignon, où il rencontrera Adèle Zouane le soir de son anniversaire (13 juillet). Cette coïncidence marquante se soldera par des tournées franciliennes en binome pour la CCAS avec son spectacle À mes amours, puis par la création sonore de son spectacle De la mort qui tue, son adaptation pour la rue dans De la mort qui rue, la création de la Vouzénou Compañî, puis de leur fils Tiago.
En parallèle, il œuvre au parti Collectif avec qui il créé le spectacle dehors Fête Fête et a passé trois années avec le PLI dans le quartier de Beutre à Mérignac sous son chapiteau, d’où sortira le spectacle C’est Oui

Jaime est Improète émérite et membre honoraire du PRPC (Pôle Réunion du parti Collectif), et se lance également dans une carrière de rappeur solo sous l’appellation POTO.